• Viens ! - Une flûte invisible

    Soupire dans les vergers.-

    La chanson la plus paisible

    Est la chanson des bergers.

     

    Le vent ride, sous l'yeuse,

    Le sombre miroir des eaux.

    La chanson la plus joyeuse

    Est la chanson des oiseaux.

     

    Que nul soin ne te tourmente.

    Aimons nous ! Aimons toujours !

    La chanson la plus charmante

    Est la chanson des amours.

     

    Victor HUGO

     

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    A BIENTOT

     

    L Y D I A


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  • Ces dames (oiselles) s'attaquent maintenant à la féminisation

     

    de la grammaire française.

     

    Qu'est-ce que cela va donner ? Je n'en sais rien encore.

     

    Faudra-t-il désormais demander :

     

    "Quelle heure est-elle ?" "Elle neige ?"

     

    Je ne sais pas encore mais c'est ridicule !

     

    Et justement,

     

    "Mademoiselle la féministe ne craint pas le ridicule !"

     

    Elle s'en vêt et s'en revêt à loisir !

     

    Les collants deviendront sans doute : '"collantes"

     

    C'est bien ce qu'elles deviennent ces nanas-là : collantes !

     

    Le vagin deviendrait donc : "la vagine" ; l'utérus deviendrait : "l'utéruse"

     

    Le bébé deviendrait : "la bébète" comme c'est rigolo !

     

    Vous ne trouvez pas ? Il faut que tout devienne féminin.

     

    Les hommes eux-mêmes le deviendront tôt ou tard.

     

    Quand je dis rigolo, je veux dire "rigolo à pleurer" comme le temps !

     

    Nous volons en plein cauchemar.

     

     

    Je vous souhaite un bon lundi

     

    Ici pluie, froid(12° hier, 15° aujourd'hui.)

     

    (j'ai rallumé le chauffage

     

    car j'en avais marre d'avoir ce froid humide dans les os !)

     

    L Y D I A


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  • Pour ce livre, sorti à Bruxelles en mars 1862, Victor Hugo avait écrit :

     

    Tant qu'il y aura sur la terre ignorance et misère, des livres de la nature de celui-ci pourront ne pas être inutiles , écrivait Victor Hugo dans la préface des Misérables. Dénoncer la misère, tenter de faire changer la société de son époque, tels sont bien les buts qu'il poursuit dans ce roman monumental dont les héros sont tous entrés dans l'imaginaire collectif. Très influencé par le roman-feuilleton, Victor Hugo ne néglige aucune' des ressources qu'offre le romanesque. Jean Valjean, le forçat libéré, Fantine, la malheureuse fille mère, Cosette, l'enfant martyre, Gavroche, le gamin de Paris, ou encore, l'impitoyable Javert, entraînent  le lecteur dans une intrigue foisonnante qui le mène de Paris à Montreuil-sur-Mer, de l'infâme auberge des Thénardier aux héroïques barricades républicaines du début des années 1830...

     


     

    Le jeudi 31 mai 2012, venez revivre, à la Galerie du Roi, un moment historique en vous plongeant dans l'univers culinaire et littéraire du XIXe siècle. Victor Hugo sera votre invité d'honneur ! Réservations s.chafia@visitbrussels.be

    Les Misérables, ...

    Les Misérables, Victor Hugo et Bruxelles : un lien fort

    Victor Hugo a vécu près de cinq cents jours à Bruxelles. Si la première fois, il est venu admirer la ville en touriste, Bruxelles est devenue ensuite un lieu essentiel pour sa carrière d’écrivain et de penseur.

    Promenade Victor Hugo

    Promenade Victor Hugo
    Dans le centre de Bruxelles, le visiteur peut encore découvrir de nombreuses traces du séjour de Victor Hugo dans la ville. Si vous voulez partir seul à la découverte de l'auteur, achetez le plan de la balade " VISITBRUSSELS-sized for Victor Hugo " chez VISITBRUSSELS (0,50€).

    La Grand-Place et l'Hôtel de Ville
    Lors de sa première visite à Bruxelles en 1837, Victor Hugo note ses impressions sur la Grand-Place et l'Hôtel de Ville de style gothique dans son carnet de voyage : 
    "L'Hôtel de Ville de Bruxelles est un bijou, une éblouissante fantaisie de poète tombée de la tête d'un architecte. Et puis, la place qui l'entoure est une merveille. "
     
    Hôtel de Ville
    Grand-Place
    1000 Bruxelles
    T +32 2 548 04 47
    musea@brucity.be
    Une belle balade à faire pour ceux qui peuvent aller à Bruxelle.

    Un petit COUCOU pour l'occasion à mes amis belges.
    (Mousse, Olivier)

    BONNE JOURNEE DU "1er Mai"

    L Y D I A


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  • Elle me dit : "Quelque chose

    Me tourmente." Et j'aperçus

    Son cou de neige, et dessus,

    Un petit insecte rose.

     

    J'aurais dû --mais sage ou fou,

    A seize ans on est farouche--

    Voir le baiser sur sa bouche

    Plus que l'insecte à son cou.

     

    On eût dit un coquillage ;

    Dos rose et tâché de noir.

    Les fauvettes pour nous voir

    Se penchaient dans le feuillage.

     

    Sa bouche fraîche était là ;

    Je me courbai sur la belle,

    Et je pris la coccinelle ;

    Mais le baiser s'envola.

     

    Fils, apprend comme on me nomme,

    Dis l'insecte du ciel bleu,

    Les bêtes sont au bon Dieu,

    Mais la bêtise est à l'homme.

     

    Victor Hugo

    Mai 1830

     

    Pour mon amie Mousse :

     

    http://motiviation-energie.skynetblogs.be/

     

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    Bon week-end

     

    L Y D I A


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  • Le système de division du temps, du calendrier grégorien, est en usage depuis le XVIème siècle, sauf une brève interruption de 1793 à 1806. A chaque instant de la vie courante, nous y faisons référence en nommant les jours de la semaine et les mois de l'année. L'étymologie des vocables qui les désignent est souvent pittoresque.

     

    Pour les jours, il s'agit de remonter à l'histoire de la création... La Genèse termine ainsi l'histoire du ciel et de la terre : "Dieu conclut au septième jour l'ouvrage qu'il avait fait, et au septième jour il chôma... Dieu bénit le septième jour et le sanctifia. Voilà pourquoi le dimanche (du latin "dies dominicus" jour du Seigneur) est un jour de repos consacré à la louange de Dieu.

     

    Le lundi (du latin "lunae dies" jour de la lune) nous entrerons dans la semaine laborieuse.

     

    Les mardi, mercredi et jeudi, sont respectivement patronnés par Mars, Mercure et Jupiter.

     

    Le vendredi (du latin "Veneris dies") est consacré à Vénus. Samedi (du latin : "Sambadi dies") correspond au sabbat.

     

    Le nom des mois vient aussi du latin. Janvier est consacré à Janus, le Dieu romain à double face. Février, considéré comme néfaste par les romains, fut raccourci pour cette raison. Mars n'était pas, comme on le croit, dédié au Dieu de la guerre mais à Mercure, Dieu du commerce et des voleurs.

     

    Avril était jadis le premier mois de l'année. En 1564, un édit de de Charles IX fit commencer l'année par le mois de Janvier.

     

    Mais est consacré par les catholiques à la Vierge. Juin et juillet n'ont pas de divinité tutélaire mais furent baptisés ainsi en l'honneur de Junius Britus, l'un des fondateurs de la république et de Jules César l'empereur.

     

    Août est dédié à l'empereur Auguste. Le mot avait jadis le sens de "moisson" et La Fontaine écrivait : "Remuez votre champ dès qu'on fera l'août."

     

    Septembre, octobre, novembre et décembre étaient les septième, huitième, neuvième et dixième mois de l'année romaine primitive commençant en mars.

     

    Le calendrier républicain fut institué le 24 octobre 1793 pour la révolution. L'an I de l'ère républicaine partait le 22 septembre 1792, jour suivant la proclamation de la république et date de l'équinoxe d'automne.

     

    En espérant ne pas vous avoir ennuyés avec cette histoire.

     

    Je vous souhaite un bon mardi.

     

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    L Y D I A


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