Vous connaissez ces "saints" qui font froid dans le dos chaque année.

 

La température a bien baissé ces derniers jours.

 

La lune rousse clôture ces trois saints : aujourd'hui je pense.

 

Ne pas dire surtout : "Les saintes glaces", ce serait une erreur.

 

Le mois de mai devrait être le plus beau de l'année,

 

Mais voilà que ces affreux saints bouzillent tout.

 

Le jardin devrait resplendir et il faut attendre, attendre...

 

On n'y coupe pas, chaque année ils reviennent nous faire frissonner.

 

 

http://www.cskamloup.qc.ca/enseigne/roy/gisele/gifsani.htm

 

Je me couvrirez bien aujourd'hui encore et sans doute demain.

 

Rien à faire d'autre. Mais pas de pluie ! Y'en a marre !

 

Pour moi il peut pleuvoir le jour aussi, même si cela me gêne.

 

Bon lundi et excellente semaine,

 

L Y D I A

 

  Je souhaite la pluie de toutes mes forces. Et vous ?

 

Cette vidéo d'un homme heureux de danser sous la pluie

 

qui fait toujours plaisir à voir.

 

Or, aujourd'hui, pas de pluie. Quelques gouttes qui mouillent le dessus,

 

C'est tout.

 

A la météo, ils disent : "Ca se dégrade" Non !

 

Ils doivent dire : "Enfin la bonne pluie arrive"

 

Qu'ils changent leurs discours négatifs sur le temps.

 

Le soleil n'est pas le seul valable. La pluie est une bonne chose aussi.

 

Il faut l'accueillir avec plaisir et joie.

 

Saviez-vous qu'il existait trois sortes de neige, selon la température et le lieu.

 

Notamment sur ce site :

 

http://comprendre.meteofrance.com/

 

Jérôme explique :

 

"On distingue 3 types de neige selon la quantité d'eau liquide qu'elle contient : neige sèche, humide ou mouillée. La neige sèche est fréquente en montagne car elle se forme par temps très froid, avec des températures inférieures à -5°C. Légère et poudreuse, elle contient peu d'eau liquide.
La neige humide ou collante tombe souvent entre 0°C et -5°C. Elle contient davantage d'eau liquide ce qui la rend lourde et pâteuse. C'est la plus fréquente en plaine et la plus indésirable.
La neige mouillée tombe entre 0°C et 1°C et contient beaucoup d'eau liquide. Très lourde, elle est facilement évacuée par le trafic routier, mais peut aussi fondre et regeler sous forme de plaques de glace."

 

Merci Jérôme pour cette explication.

 

J'ai ainsi compris pourquoi la neige qui tombe chez nous, en plaine, est collante et pose tant de problèmes.

 

De plus, nous ne sommes pas du tout équipés pour lutter contre la moindre neige et dès qu'elle tombe, nous sommes dépassés,  empêtrés, bloqués.

 

J'ai compris aussi pourquoi cette neige collante sur des caténers des trains peut les bloquer. Elle peut faire casser les branches d'arbres et plein d'autres choses.

 

En somme, la meilleure neige est celle qui tombe en altitude car elle est sèche et légère. La montagne et la neige sont faits pour aller ensemble, pas la plaine.

 

Bonne journée,

 

L Y D I A

 

Eh oui ! Le réchauffement se trouve dans les pôles "Nord ou Sud"

 

et dans les pays tempérés, c'est le refroidissement, la neige, etc.

 

Pourrait-on m'expliquer cela ?

 

 

 

C'est très contradictoire en effet.

 

 

Cette photo a été prise l'hiver dernier dans les Pyrénées-Orientales.

 

Le soir bien sûr, d'où la couleur bleutée.

 

Bonne journée,

 

L Y D I A

    Ce dimanche sera gris et pluvieux mais c'est si rare que quand cela arrive, il faut s'en réjouir.

 

Petites pluies qui font peu à peu reverdir la pelouse qui en avait bien besoin.

 

En ce jour je pense à ceux qui n'ont rien pour s'abriter, nul endroit et offre ce poème :

 

 

Le Mendiant

Un pauvre homme passait dans le givre et le vent.
Je cognai sur ma vitre ; il s'arrêta devant
Ma porte, que j'ouvris d'une façon civile.
Les ânes revenaient du marché de la ville,
Portant les paysans accroupis sur leurs bâts.
C'était le vieux qui vit dans une niche au bas
De la montée, et rêve, attendant, solitaire,
Un rayon du ciel triste, un liard de la terre,
Tendant les mains pour l'homme et les joignant pour Dieu.
Je lui criai : « Venez vous réchauffer un peu.
Comment vous nommez-vous ? » Il me dit : « Je me nomme
Le pauvre. » Je lui pris la main : « Entrez, brave homme. »
Et je lui fis donner une jatte de lait.
Le vieillard grelottait de froid ; il me parlait,
Et je lui répondais, pensif et sans l'entendre.
« Vos habits sont mouillés », dis-je, « il faut les étendre,
Devant la cheminée. » Il s'approcha du feu.
Son manteau, tout mangé des vers, et jadis bleu,
Étalé largement sur la chaude fournaise,
Piqué de mille trous par la lueur de braise,
Couvrait l'âtre et semblait un ciel noir étoilé.
Et, pendant qu'il séchait ce haillon désolé
D'où ruisselait la pluie et l'eau des fondrières,
Je songeais que cet homme était plein de prières,
Et je regardais, sourd à ce que nous disions,
Sa bure où je voyais des constellations.

Victor Hugo, Les Contemplations (1856)

 

Gros bisous,

 

L Y D I A