Ce lac est équipé pour que les pêcheurs puissent repartir avec des truites.

Bien sûr, il faut les payer ensuite : 2,70 Euros l'une, ce qui n'est pas cher.

Ces vues je vous les montre parce que je les trouve très belles

Et que j'aie passé d'agréables moments dans cet environnement.

Voilà, j'ai donc bien pu mettre des photos, j'en suis bien aise.

BONNE SOIREE

L Y D I A

Soleilhou

Ce terme occitan désigne les terrasses couvertes, au dernier étage des vieilles maisons du Tarn surtout. On y faisait sécher les récoltes, qui étaient hissées par des poulies. Ces soleilhous servaient aussi de poste d'observation.

Autre exemple de l'architecture albigeoise médiévale, les «gacholes», ces tours de guet qui marquaient aussi dans leur verticalité la puissance sociale d'une famille. On peut les observer en suivant le circuit du Viel Alby, comme les encorbellements, ces avancées de l'étage sur la rue, qui constituent un abri de la pluie et du soleil.

BONNE FETE DES MERES

L Y D I A

Les briquettes un peu partout, les bastides dans la belle campagne verte,

Un bon moment dans un coin tranquille, reposant, particulier.

Je ne sais pas pourquoi, je n'ai pas pu télécharger mes photos.

J'ai donc dû prendre celle-ci dans "flickr" la même qu'une des miennes.

C'est tout ce que je peux faire pour ce soir et m'en excuse.

Ces blogs ne fonctionnent pas toujours comme on le voudrait.

Mais bon, que je me fâche ou pas n'y changera rien

BONNE NUIT

L Y D I A

Un musée : plus de 1 000 oeuvres de Toulouse-Lautrec :

La cathédrale Sainte-Cécile d'Albi construite décidée en 1227 :

Une belle ville, ALBI

Cordes sur Ciel

Et les bastides albigeoises.

A lundi avec d'autres photos.

L Y D I A

Emprunté à l'almanach du Bordelais de 2004.

L'île de Patiras abritait autrefois la retraite d'un redoutable pirate nommé "Moustic" qui ravagea le Médoc et la Saintonge et ne succomba que sous les attaques des forces navales expédiées contre lui par le Parlement de Bordeaux.

Face à l'ancienne raffinerie de pétrole, l'île de Trompeloup a elle aussi une histoire. Un "Lazaret de Marie-Thérèse" y accueillait les marins atteints de la fièvre jaune tandis que leur bateau subissait la quarantaine devant Pauillac. Flemming, inventeur de la pénicilline, vint y étudier les affections microbiennes. Désireux de constater les symptômes de la fièvre jaune, Pasteur, repartira déçu. Le bateau sur lequel on lui avait signalé un cas, ne comptait à son bord que des hommes en bonne santé. Selon une pratique hélas fréquente, le navire voulant éviter la quarantaine avait jeté le malade par-dessus bord avant Pauillac.

BON MERCREDI A VOUS AMIES ET AMIS.

L Y D I A