• A Saint-Rémy de Provence, tout parle de lui, des tableaux dans l'avenue principale en entrant dans la ville.

    J'en ai photographié certains :

     

    Vincent Van Gogh y a vécu

     

    Vincent Van Gogh y a vécu

     

    Vincent Van Gogh y a vécu

     

    Ces trois sont sur le thème des oliviers.

     

    Ci-dessous, c'est la nuit étoilée.

     

    Vincent Van Gogh y a vécu

    J'en mettrai d'autres plus tard parce que, pour l'instant, il ne veut rien savoir mon ordi. Il est très lent aujourd'hui, peut-être la chaleur !

    Il arrive à m'énerver, c'est dire !

    Ce peintre est parmi mes préférés.

    J'aime particulièrement son tableau :

    "La nuit étoilée."

     

    Bon week-end,

     

    L Y D I A


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  • Quelques photos de Baux-de-Provence :

     

    Ma semaine dans les Alpilles

     

    Ma semaine dans les Alpilles

     

    Ma semaine dans les Alpilles

     

    Ma semaine dans les Alpilles

     

    Ma semaine dans les Alpilles

     

    Ma semaine dans les Alpilles

     

    J'en mettrai d'autres bientôt.

    Cette fois j'ai pris des photos mais je dois les trier et en jeter prises en doubles.

    Bonne journée.

    L Y D I A


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  • C'est-il pas génial ?

     

     

     

     

    Bon jeudi mes amies que j'aime.

     

    Gros bisous de LYDIA


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  • Magnifique n'est-ce pas ?

     

    Le tableau ce Chefchaouen encadré :


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  • belle-terreDans les grandes villes, la concurrence est déjà bien présente et l’investissement aurait été double. Mais le risque d’installer sa boutique à La Louvière n’est-il pas tout aussi grand ? Même le marché hebdomadaire ne compte pas d’échoppe bio parmi les vendeurs maraîchers ! Les Louviérois feront-ils le pas en allant s’approvisionner dans sa boutique ? Bruxellois d’origine, Serge a fait le pari de miser sur cette ville de la région du Centre, persuadé qu’il y avait là un public potentiel intéressé au bien-fondé du bio. Serge aime les défis et il semble rempli d’énergie pour relever ce dernier.

    Serge Van Bost Belle Terre La Louvière

     

     

    Êtes-vous « locavore » ? L’exemple de Belle Terre à La Louvière

    « Belle Terre », c’est le joli nom donné au commerce bio qui a ouvert ses portes en novembre 2014 à La Louvière, en Belgique… et qui se recommande du « locavorisme ». Derrière ce terme, pour le coup un brin barbare, se cache un mouvement prônant la consommation de nourriture produite dans un rayon allant de 100 à 250 kilomètres. Rencontre sur place de consoGlobe d’un locavore déterminé.

    Locavore : si vous n’allez pas au bio, le bio viendra à vous avec Serge…

    Amoureux de la terre, sensible à la malbouffe et bientôt papa d’un deuxième enfant, Serge Van Bost s’est lancé dans l’aventure du bio.

    J’ai juste envie de faire du bien à ma famille et aux personnes qui viennent dans mon magasin en offrant un maximum de services.
     

    Définition – Le locavorisme

    Le terme « locavore » est apparu il y a dizaine d’années aux Etats-Unis, où Jessica Pentrice, une habitante de San Francisco, met alors les habitants de sa ville au défi de se nourrir uniquement d’aliments produits à moins de 160km de chez eux. Le locavore, c’est donc, littéralement, celui qui « mange local ».

    Selon le Petit Larousse, c’est aussi une « personne qui décide de ne consommer que des fruits et légumes locaux et de saison pour contribuer au développement durable ». Avec des exceptions tolérées pour le thé, le café, le chocolat, les épices, et autres produits exotiques.

     

    Locavore : le vrac et le local

    Ce qui rend sa boutique unique, c’est la vente en vrac. Outre les produits alimentaires et cosmétiques classiques, Serge a décidé de miser sur la vente d’huiles et de céréales en vrac. Il se bat contre la malbouffe mais également contre les contenants, plastiques et déchets en tout genre.

    Le client vient avec ses propres récipients et choisit lui-même les quantités qu’il désire acheter. Il souhaite à terme que la majorité de ses produits soient achetables de cette manière. Dans une logique de consommation responsable, il promeut également le « locavorisme » et se fournit dès lors principalement auprès de producteurs belges.

    Quand on lui demande ce qui le motive à agir de la sorte, il répond qu’ « à ses yeux, trop de producteurs locaux de bonne qualité ne sont pas assez valorisés. Pourquoi dès lors aller chercher les produits si loin quand on peut éviter l’émission de CO2 en réduisant les longs trajets entre les fournisseurs et les consommateurs ? »

    Je trouve moi qu'il a raison et que cela ressort de la logique et du raisonnable.

    Si tout le monde se mettait à penser ainsi, la réduction des transports par avion ou bateau serait une pollution de moins et chacun mangerait sa production personnelle.

    En faisant fonctionner plus et mieux les producteurs locaux, il y aurait moins de contestations, moins d'énervements, moins de monde sur les routes, la nourriture serait fraîche et ne subirait plus les traitements intensifs divers visant à les faire se conserver mieux et plus longtemps.

     

    C'est mon avis. Et le vôtre ?

    Bon lundi à vous mes amies.

    L Y D I A


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