AVANT  ET APRES :

C'est mieux non ?

En regardant les photos, je me rends compte que c'est l'environnemment au sol qui pose problème.

Je vais devoir trouver une solution.

J'en ai encore à faire...

Bon week-end

L Y D I A

Elle allie couleurs chaudes et froides et s'aooelle

"l'oiseau dans la vague"

Bon week-end et à bientôt.

L Y D I A

Je voulais répondre gentiment à Moumousse.

J'ai connu une conseillère en assurances et placements  qui avait tout fait pour inspirer ma confiance. Elle était très gentille et mignonne et m'avait complètement retournée. C'était pour mieux obtenir de moi des signatures sur des placements où elle avait tellement abusé qu'elle avait vidé mes comptes et plus encore.

Heureusement que j'ai pu annuler tout ceci (j'avais un mois pour réfléchir.)

C'est pour cela que j'étais réticente hier sur l'article paru chez toi.

Voici quelques citations qui vont dans ce sens :

J'ai été opérée de la cataracte et j'ai des traitements à faire ensuite.

Par exemple : PHYLARM.

Je dois nettoyer tous les matins l'oeil opéré pendant cinq jours. Eh bien, en pharmacie, on ne trouve pas de boîtes de cinq unidoses mini.

On ne trouve que des unidoses maxi par boîtes de 16. Donc, j'en utilise cinq et qu'est-ce que je fais du reste ?

Cela me met en boule chaque fois que je vois des exagérations pareilles. Les opérations de la cataracte sont très nombreuses.  C'est pratiquement des opérations à la chaîne. les laboratoires qui fabriquent ce produit pourraient donc faire des boîtes de cinq doses de 2  ml, puisque cette quantité suffit pour laver l'oeil, et non pas des boîtes de 16 de 10 ml. J'en utilise 2 ml et je jette le reste.

Il me reste 11 unidoses dans la boîte. Que vais-je en faire ? Bon, d'accord, je pourrais bien sûr laver mes yeux avec quand j'en aurai envie. Mais pas avec les 10 ml. C'est toujours pareil, la dose est trop importante. C'est la France ça ! Le gaspillage, toujours et encore le gaspillage. Cela me met en colère à chaque fois.

Ceci n'est qu'un exemple de ce qui se fait dans le domaine pharmaceutique. Il y a des tas d'autres exemples d'exagérations de ce genre, que ce soit dans le domaine des antibiotiques, dans tous les domaines. Et c'est la sécurité sociale qui est la victime et qui paye. Mais je pense qu'elle est consentante par certains côtés. Sinon, elle aurait déjà fait quelque chose pour que ça change.

En l’occurrence, pour PHYLARM, c'est nous qui payons puisque ce n'est pas remboursé. Alors tout le monde s'en fout. C'est ni plus ni moins qu'un produit de consommation courante !

Je suis écoeurée de tous ces produits médicaments ou approchants qui se gaspillent chaque jour, chaque mois, chaque année.

Bon mercredi et bisous.

Dis-moi comment ça se passe en Belgique Moumousse.

L Y D I A

Voici ma dernière œuvre, où les rouges et les jaunes s'accordent à merveille.

La prochaine sera plus dans les bleus, verts, couleurs froides.

Bonne journée mes amies

L Y D I A