Elles ont frappé et obtenu ce pourquoi elles s'activaient depuis quelque temps déjà.  Je parle là des "féministes" bien sûr.

 

Ne sachant plus à quoi s'attaquer, elles ont attaqué ce joli mot : "Mademoiselle" afin de le supprimer, le tuer, qu'on n'en entende plus jamais parler.

 

Elles ne sont pas nombreuses à avoir demandé cela. Mais elles sont pugnaces et quand elles ont un truc dans la tête, elles ne l'ont pas ailleurs.

 

Elles n'ont pas non plus demandé l'avis des autres femmes françaises pour savoir si elles étaient d'accord. Non, pas du tout. Ce petit groupe agit seul et sans complexe. C'est le totalitarisme qui règne chez ces personnes.

 

Parce que moi je le regrette déjà ce joli mot : "Mademoiselle" ! Qu'y a-t-il de plus joli comme mot, je vous le demande ? Je vais le regretter et ne dois pas être la seule. C'est d'une tristesse ! Je n'apprécie pas les décisions de ces quelques femmes !!!!

 

 

A Mademoiselle Oui, femme, quoi qu'on puisse dire Vous avez le fatal pouvoir De nous jeter par un sourire Dans l'ivresse ou le désespoir. Oui, deux mots, le silence même, Un regard distrait ou moqueur, Peuvent donner à qui vous aime Un coup de poignard dans le coeur. Oui, votre orgueil doit être immense, Car, grâce à notre lâcheté, Rien n'égale votre puissance, Sinon, votre fragilité. Mais toute puissance sur terre Meurt quand l'abus en est trop grand, Et qui sait souffrir et se taire S'éloigne de vous en pleurant. Quel que soit le mal qu'il endure, Son triste sort est le plus beau. J'aime encore mieux notre torture Que votre métier de bourreau.

 

Voici mon mimosa l'an dernier.

 

Cette année la gelée est passée par là.

 

Il aurait tenu le coup jusqu'à -5°. Mais le froid a été plus fort,

 

Et surtout, il a duré plusieurs jours.

 

Il n'a pas résisté. Résultat pas de fleurs.

 

Peut-être il repoussera, peut-être pas, je n'en sais rien.

 

Cet arbre énorme est devenu bien triste.

 

Ce sont mes seules fleurs, je les regrette beaucoup.

 

Dites-moi si vous avez perdu des arbustes aussi.

 

BON WEEK-END

 

L Y D I A

Son blog :

 

"http://leslivresdesophie.over-blog.com"

 

Ma gratifiée d'un article sur l'un de mes livres :

 

"ET LE CIEL S'EMBRASA"

 

Me faisant ainsi un grand plaisir.

 

Si vous voulez le lire, vous pouvez aller sur son blog bien sûr.

 

Il y a des moments de pur bonheur sur les blogs.

 

Quand se crée un courant de sympathie comme celui-là.

 

Ce sont ces moments-là qui donnent du sel à la vie.

 

Je l'en ai déjà bien remerciée car j'ai apprécié son geste.

 

Cet article est pour toi >Sophie !

 

Source : annacatharina.centerblog.net sur centerblog.

 

Cette peinture est de Mary Kosky

 

Bonne journée de mercredi,

 

L Y D I A

Source : annacatharina.centerblog.net sur centerblog.

 

 

S'il y a un tic qui m'embarrasse c'est "l'achat de livres".

 

C'est le seul achat qui me pose problème

 

n'étant pas dépensière en général.

 

Je suis en train de les déplacer en ce moment

 

Et leur multitude me pose problème.

 

 

Je ne sais pas trop comment faire. J'en ai mis à la poubelle :

 

(des livres que je ne pouvais même pas donner.)

 

J'en ai donné ; mais j'hésite encore pour certains :

 

A savoir si je les garde ou pas.

 

Quel dilemme ! Cela va me prendre encore des jours et des jours

 

pour décider ceux que je donne ou pas.

 

Je devrai aussi les classer par genre et auteurs pour m'y retrouver.

 

Il y a les livres magnifiques rangés dans une armoire blanche.

 

Les livres reliés, brochés, etc.

 

Il y a les livres d'auteurs, de cuisine, de tricot,

 

De broderie, de patchwork et les séries.

 

Tout un méli mélo qui m'insupporte à présent

 

Alors que je dois les déplacer. Quel boulot.

 

J'ai des Jules Vernes, bien sûr :

 

 

Des Honoré de Balzac :

 

 

Des Alexandre Dumas,

 

Et d'autres...

 

BON DIMANCHE

 

 

l y d i a

Louis, quand vous irez, dans un de vos voyages,

Voir Bordeaux, Pau, Bayonne et ses charmants rivages,

Toulouse la romaine où dans des jours meilleurs

J'ai cueilli tout enfant la poésie en fleurs,

Passez par Blois. - Et là, bien volontiers sans doute.

Et tandis qu'ils joueront, riront ou dormiront,

Vous, avec vos pensées qui haussent votre front,

Montez à travers Blois cet escalier de rues

Que n'inonde jamais la Loire au temps des crus ;

Laissez-là le château, quoique sombre et puissant,

Quoiqu'il ait à la face une tâche de sang ;

Admirez en passant cette tour octogone

Qui fait à ses huit pans hurler une gorgone ;

Mais passez - Et sorti de la ville, au midi,

Cherchez un tertre vert, circulaire, arrondi,

Que surmonte un grand arbre, un noyer ce me semble.

Comme au cimier d'un casque, une plume qui tremble,

Vous le reconnaitrez, amis, car, tout rêvant,

Vous l'aurez vu de loin, sans doute en arrivant.

 

De qui ? (Victor Hugo bien sûr !)

 

 

 

BON JEUDI AUX CROQUEURS DE MOTS

 

L Y D I A