POUR CAUSE DE PETITS ENFANTS A S'OCCUPER

 

EN PLEINE PREPARATION,

 

JE NE PEUX RIEN METTRE AUJOURD'HUI

 

SAUF UNE PHOTO PEUT-ETRE

 

 

Représentant le 14 juillet, le 15 août...

 

GROS BISOUS ET A BIENTOT

 

L Y D I A

Emprunté à l'almanach du Bordelais de 2004.

 

L'île de Patiras abritait autrefois la retraite d'un redoutable pirate nommé "Moustic" qui ravagea le Médoc et la Saintonge et ne succomba que sous les attaques des forces navales expédiées contre lui par le Parlement de Bordeaux.

 

Face à l'ancienne raffinerie de pétrole, l'île de Trompeloup a elle aussi une histoire. Un "Lazaret de Marie-Thérèse" y accueillait les marins atteints de la fièvre jaune tandis que leur bateau subissait la quarantaine devant Pauillac. Flemming, inventeur de la pénicilline, vint y étudier les affections microbiennes. Désireux de constater les symptômes de la fièvre jaune, Pasteur, repartira déçu. Le bateau sur lequel on lui avait signalé un cas, ne comptait à son bord que des hommes en bonne santé. Selon une pratique hélas fréquente, le navire voulant éviter la quarantaine avait jeté le malade par-dessus bord avant Pauillac.

 

 

BON MERCREDI A VOUS AMIES ET AMIS.

 

L Y D I A

De mon séjour à Paris, puis à Evry, ville de l'AFM téléthon, Généthon,

 

et tout le reste, je ramène des données importantes dont je vais faire

 

profiter mes fidèles visiteurs au fur et à mesure d'une série de notes

 

qui passeront sur ce blog et sur l'autre à raison de deux fois par semaine.

 

Tout d'abord, la photo prise de moi au milieu de :

 

* Laurence TIENNOT HERMENT présidente de l'AFM et du Téléthon

 

et Frédéric REVAH directeur général du Téléthon.

 

 

J'ai visité entre autres les bâtiments de "Généthon Bioprod" en construction.

 

Ils serviront à la fabrication des médicaments destinés aux essais cliniques.

 

Ce projet "Majeur" est une étape historique du combat contre la MALADIE.

 

Ce centre sera le plus important au monde.

 

Il représente l'aboutissement de 20 ans de recherche

 

et un immense espoir de guérison.

 

 

C'est la première note d'une série plus importante

 

Où je reprendrai la chronologie de l'AFM et du téléthon.

 

Car je serai désormais l'ambassadrice de cette association.

 

Je vous souhaite un bon lundi.

 

L Y D I A

Dans un chemin montant, sablonneux, malaisé,

Et de tous les côtés au soleil exposé,

Six forts chevaux tiraient un coche.

Femmes, moines, vieillards, tout était descendu.

L'attelage suait, soufflait, était rendu.

Une mouche survient, et des chevaux s'approche,

Prétend les animer par son bourdonnement,

Pique l'un, pique l'autre, et pense à tout moment

Qu'elle fait aller la machine,

S'assied sur le timon, sur le nez du cocher ;

Aussitôt que le char chemine,

Et qu'elle voit les gens marcher,

Elle s'en attribue uniquement la gloire,

Va, vient, fait l'empressée ; il semble que ce soit

Un sergent de bataille allant en chaque endroit

Faire avancer ces gens et hâter la victoire.

 

La mouche en ce commun besoin

Se plaint qu'elle agit seule, et qu'elle a tout le soin,

Qu'aucun n'aide aux chevaux à se tirer d'affaires.

Le moine disait son bréviaire :

Il prenait bien son temps ! Une femme chantait :

C'était bien de chansons qu'alors il s'agissait !

Dame mouche s'en va chanter à leurs oreilles,

Et fait cent sottises pareilles.

Après bien du travail, le coche arrive au haut.

"Respirons maintenant, dit la mouche aussitôt :

J'ai tant fait que nos gens sont enfin dans la plaine.

Ca, messieurs les chevaux,  payez-moi de ma peine."

 

Ainsi certaines gens faisant les empressés,

S'introduisent dans les affaires.

Ilf font partout les nécessaires,

Et partout importun devraient être chassés.

 

Jean de La Fontaine

 

    faire la mouche du coche :

 

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Bon jeudi et à bientôt.

 

M'en vais à Paris jusqu'à dimanche.

 

A LUNDI DONC !

 

Lydia

Cette expression daterait du XVIIème siècle où les menus

 

chez les grands de ce monde étaient si copieux,

 

qu'on leur attribue des maux comme l'attaque d'apoplexie.

 

Les médecins préconisaient soit la saignée ou le clystère.

 

Quand ils se rencontraient et se disaient : "Comment allez-vous ?"

 

Ils voulaient dire : "Comment allez-vous à selle ?"

 

Cela vous en bouche un coin, n'est-ce pas ?

 

Nous continuons à dire cette phrase sans savoir.

 

Si nous savions il est possible que nous ne la dirions pas.