Pas de sièges pour ces ouvrières.

Elles sont assises au sol.

Je les plains !

Mais voilà ! Le Maroc c'est comme ça !

(a dit le moniteur à la piscine.)

Certains vont vivre au Maroc pour se payer des employés pour rien.

J'en ai rencontré de ceux-là.

Ils sont payés à coup de fronde et n'ont jamais de retraite.

Il y a beaucoup de misère dans ce pays.

Et l'on se plaint en France !

Bon mardi à toutes mes amies.

L Y D I A

Notre séjour à Marrakech s'est déroulé entre le 8 et 15 juin (ce mois-ci donc.)

C'est le soleil permanent là-bas. Jamais le plus petit nuage dans le ciel.

La température peut monter l'après-midi (35 à 36° lors de cette semaine.)

Mais le soir un vent léger se levait pour le diner, très agréable.

La nuit et le matin, la fraîcheur : 15 - 16°.

Cela nous a permis de prendre quelques couleurs et d'avoir l'air moins fade.

Cela est passé trop vite à mon goût.

Mais nous a permis de nous reposer.

Dès le retour, pluie et fraîcheur nous ont retrouvés.

Comme le montrent ces images, le rose est la couleur reine de cette ville.

ci-dessous : une cabane à jus d'orange.

L'arganier est un arbre typiquement marocain. On le trouve dans le Sud surtout.

Je reviendrai vous parler du Maroc. J'aimerais bien visiter d'autres parties de ce pays exotique à souhait.

BON LUNDI

L Y D I A

Julius Richard Petri invente la boîte de culture aux alentours de 1887. Elle est utilisée dans les milieux hospitaliers, pharmaceutiques ou agroalimentaires et est essentielle.

Julius Richard Petri a révolutionné le domaine de la recherche lorsqu’il inventa vers 1887 cette fameuse boîte de Petri ou boîte de culture. Aujourd’hui, elle est essentielle puisqu’elle permet de contrôler diverses surfaces de contact, les plans de travail, les blocs opératoires… À l’intérieur, de la gélose ou un autre liquide est inséré pour faciliter la mise en culture. Ce célèbre bactériologiste allemand a inventé cet outil qui est proposé dans les écoles, les universités ou les laboratoires. Avant de faire cette découverte, Julius Richard Petri, qui est né le 31 mai 1852, étudie à l’Académie Kaiser-Wilhelm où il sera diplômé en 1876.

Julius Richard Petri et son invention

Julius Richard Petri continue sa scolarité à l’hôpital de la Charité de Berlin et devient médecin militaire jusqu’en 1882. C’est lorsqu’il arrive dans le laboratoire bactériologique de Koch en 1886 qu’il aura l’idée de développer une boîte circulaire déclinée en verre ou en plastique. Le laboratoire commence à cultiver les bactéries dans des assiettes agar. Pour faciliter la recherche, il met au point cette boîte de Petri et propose une nouvelle méthode pour la culture agar qui consiste à purifier ou cloner des colonies bactériennes. Cette substance fabriquée à partir d’algues était positionnée dans une assiette. Julius Richard Petri a donc décidé d’inventer un outil à la fois pratique dont le contenu ne pourrait pas être contaminé par l’extérieur.

Julius Richard Petri favorise la recherche

La boîte de Julius Richard Petri est devenue un outil usuel très efficace pour faire des prélèvements, mais il est indispensable qu’elle soit toujours stérilisée pour que les nouvelles cellules ne soient pas contaminées. Après avoir été utilisée dans les laboratoires, elle a naturellement investi les salles de classe et permis aux collégiens et lycéens d’étudier la prolifération ou l’identification des bactéries. Julius Richard Petri a donc favorisé la recherche d’antibiotiques par exemple puisque la boîte de culture sert à identifier une bactérie. Cette dernière se développe sous la forme d'un germe à la surface de la gélose, sauf à l’endroit où il y a un antibiotique efficace.

Boite de Petri Crédit : Silk666

Reportage pris sur :http://www.24matins.fr/

Bon week-end

L Y D I A

Pour vous mes amies, notre décision est prise.

Puisque nous avons eu nos passeports dans un délai très court,

nous irons au MAROC. C'est ce que je voulais au départ.

Ce sera en Juin. J'en rêve !

On parle français dans ce pays et cela nous arrange.

Alors qu'à Vienne, c'est l'allemand que nous ne connaissons pas du tout

Et que je n'ai pas envie de connaître ni d'apprendre pour ma part.

BON WEEK-END.

L Y D I A

Après nos noces d'or, j'aurais bien aimé aller au Maroc.

Seulement voilà que nous n'avons pas de passeport.

Je me replie donc sur Vienne en Autriche.

Est-ce une bonne chose ? Je ne sais pas.

Si vous y êtes allés, dites-moi ; donnez-moi des conseils.

Je regretterai le Maroc cependant !

LYDIA